La participation de l’Algérie à la CAN 2023 suscite l’attention, marquée par des événements intrigants. Après un match contre l’Angola, le défenseur Aissa Mandi s’est trouvé au centre d’une controverse en refusant un contrôle anti-dopage de la CAF, créant ainsi des tensions au sein de l’équipe algérienne.
Placée dans le groupe D avec le Burkina Faso, l’Angola et la Mauritanie, l’Algérie, championne en titre de 2019, est considérée comme l’une des favorites. Cependant, le match contre l’Angola s’est soldé par un surprenant match nul 1-1, provoquant frustration et tension dans l’équipe après le coup de sifflet final.
Le protagoniste de cette situation, Aissa Mandi, a refusé de coopérer avec la CAF lors du contrôle anti-dopage post-match. La scène a été largement relayée, montrant une confrontation tendue entre le joueur et les agents de la Confédération Africaine de Football. Des coéquipiers, dont Ramy Bensebaini, ont finalement facilité le contrôle, laissant le verdict attendu plus tard dans la compétition.
Les réactions divergent quant à l’attitude de Mandi, certains critiquant son refus, tandis que d’autres estiment que le moment du contrôle était mal choisi. Une exploration des procédures anti-dopage pendant la CAN 2023 soulève des questions sur la gestion de la situation et la réaction du joueur face à cette expérience inhabituelle.
Cette situation vient s’ajouter à une série d’incidents notables impliquant l’équipe algérienne lors de la CAN 2023, créant ainsi une dynamique particulière autour de leur participation, en sus de l’expérience précédente du sélectionneur Djamel Belmadi confronté aux exigences de la CAF